Espérer
La période entourant la fête de Noël est un temps de l’année qui ranime bien des espoirs. L’ambiance particulière de cette époque amène bien des gens à espérer davantage que le reste de l’année, à rêver de différentes choses.
Mais tous les espoirs n’ont pas la même valeur. Espérer de l’argent, c’est limité et même risqué. L’argent que l’on désire n’arrive parfois jamais. S’il arrive, il n’est pas sûr qu’il apporte le bonheur espéré.
D’autres ont comme plus grand espoir d’avoir des gens qui les aiment et avec qui ils peuvent vivre dans la paix. Constituer une telle cellule demande beaucoup d’efforts. De plus, est-ce qu’être fermés aux besoins criants de notre monde rend vraiment heureux?
Il me semble qu’il faut tendre à espérer davantage, à désirer un monde meilleur, à chercher à y contribuer par l’ensemble de notre vie. Comme c’est riche de savoir que notre passage sur terre laisse un sillon d’amour, de justice, de partage et d’entraide. C’est encore plus grand de penser que nos paroles et nos actions ont pu redonner espoir à des gens autour de nous.
Pour avoir la force de s’engager ainsi malgré toutes les difficultés de la vie, il faut nous alimenter à Celui qui est la source de l’espoir, qui renouvelle sans cesse l’espérance. Ce Dieu qui est venu naître dans notre monde, qui a accepté de donner sa vie pour tous, nous démontre qu’il vaut la peine de s’engager dans un combat quotidien pour l’amélioration de notre société. Qu’Il vienne en chacun de vous ranimer l’espoir!