Quels bons souvenirs je garde du temps des fêtes lorsque j’étais une enfant, une adolescente, une jeune adulte !

Une préparation bien longue au temps d’Avent, combien de tourtières et de bûches préparées à la maison, les repas de famille, les chants de Noël et encore ! Du 24 décembre au 8 janvier de l’année suivante.

Que de bons souvenirs.

Aujourd’hui, oui, oui, Noël est certes encore la fête de la naissance du ‘petit Jésus’; mais … il me semble que cette fête a perdu de sa magie car elle me semble devenue maladivement commercialisée.

Dès le mois de septembre, j’ai vu des décorations de Noël dans des comptoirs commerciaux. Oui, oui ! Ce n’était pas illusions d’optique !

Une culture de consommation véhiculée par la télévision, la radio, les journaux, etc., prêche la valeur des cadeaux comme seul moyen de démontrer nos sentiments envers nos parents, nos enfants, nos amies, etc.

Durant l’année, on ne leur donne souvent aucun signe de vie; mais on se replace la conscience en leur offrant un beau gros cadeau à Noël. Que c’est beau, hein !

Soyons donc réalistes ! Pourquoi pas un cadeau plus simple : une petite visite, un coup de téléphone, une lettre, une carte de souhaits, un courriel, etc.,

Ça me semble plus vivant, plus humain et plus chaleureux qu’un cadeau matériel à Noël, en fin d’année. Et puis, les choses matérielles, je commence à pouvoir m’en passer facilement.

Pensons-y du 1er janvier jusqu’au 31 décembre 2022, je t’offre un cadeau : un signe de ma présence.